Les Inrocks Les Inrocks
  • Rechercher
  • Recevoir l’agenda de la semaine
  • À la Une
  • Saison des festivals
  • Musique
  • Cinéma
  • Séries
  • Livres
  • Art et Scènes
  • Jeux vidéo
  • Actu
  • Le Magazine
  • Les Suppléments
  • Les Inrocks Radio
  • Les newsletters
  • Le shop
  • Combat
    • Les Inrockuptibles
    • Radio Nova
    • Rock en Seine
    • Rough Trade
  • Archives
  • Le Club Inrocks
  • Tous les Avantages
  • Les radios Combat
    • Les Inrocks Radio
Logo

Les radios Combat

Les Inrocks Radio
Les Inrocks Radio

Les magazines

Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines
Les magazines

Combat

Combat
Combat
Combat
Combat

Rechercher

Dernier numéro

Dernier numéro

Ce podcast est réservé aux abonnés

Accédez à l’intégralité des Inrockuptibles

Abonnez-vous

Vous êtes déjà abonné ?

Connectez-vous
  • Arts & Scènes

4 min

Les 5 expos à ne pas rater en mai

par Ingrid Luquet-Gad

Publié le 6 mai 2019 à 9h15
Mis à jour le 17 mars 2021 à 15h36

Laure Prouvost, " Deep See Blue Surrounding You / Vois Ce Bleu Profond Te Fondre", 2019. Capture d'écran du film présenté dans le cadre du Pavillon Français de la 58e Biennale Internationale d'Art de Venise.

  • Partager
  • Partager
  • Envoyer
  • Envoyer
  • COPIER Copié
  • Plus

Le meilleur des expositions d’art contemporain dans toute la France en mai 2019.

Fake-news, poulpes et vaporetto

A partir du 8 mai, ne cherchez plus vos amis artistes, galeristes, curateurs : tout ce menu peuple de l’art aura déjà convergé, ou sera en chemin, pour Venise. Jusqu’en novembre, la Biennale d’Art de Venise investit l’Arsenale, les Giardini, les palais, les coins et recoins de la ville. La 58e édition de la plus ancienne biennale d’art s’ouvre cette année sous l’auspice des fake-news.

Pour l’exposition collective à l’Arsenale, le curateur Ralph Rugoff, l’actuel directeur de la Hayward Gallery à Londres, le même qui en 2015 prenait déjà les rennes de la 13e Biennale de Lyon, a réuni 83 artistes – tous vivants, et notablement plus jeunes qu’à l’accoutumée. A ceux-ci (dont Lawrence Abu Hamdan ; Korakrit Arunanondchai ; Ed Atkins ; Ian Cheng ; Jesse Darling ; Jon Rafman ou encore Hito Steyerl), il a demandé de produire deux œuvres distinctes : l’une s’inscrivant dans la veine de leur travail habituel, et l’autre en endossant une personnalité imaginaire. A la clef, une exposition dédoublée conçue comme la multiplication de vérités alternatives dans l’espace discursif actuel.

Aux Giardini, place comme chaque année aux pavillons nationaux. La France y sera représentée par Laure Prouvost, 41 ans et troisième femme à investir le pavillon. Intitulée Deep See Blue Surrounding You / Vois Ce Bleu Profond Te Fondre, son installation se composera d’un road-movie polyglotte à travers la France, que l’on contemplera depuis le ventre d’un poulpe. Chez les voisins, on ne loupera pas les pavillons de la Suisse (Jos de Gruyter & Harald Thys), de la Belgique (Jos de Gruyter & Harald Thys), de la Grande-Bretagne (Cathy Wilkes), de l’Estonie ou encore de Taiwan (Shu Lea Cheang).

• 58e Biennale Internationale d’Art de Venise, du 8 mai au 24 novembre

thumb_large.jpg
Tarik Kiswanson, « Flowers for my fathers », 2018. Courtesy de l’artiste, Carlier I Gebauer et Almine Rech Gallery, crédit photo : Gunter Lepkowski

La traversée (dansée) des identités

Il y a trois ans apparaissait MOVE, le festival du Centre Pompidou dédié à la performance. Impulsé par Caroline Ferreira (à lire aussi : notre entretien avec la commissaire), l’événement se déploie chaque année dans les espaces gratuits de l’institution. Ces espaces traversés et traversants retrouvent alors, trois semaines durant, leur vocation initiale d’un forum ouvert où se mêlent et parfois se rencontrent visiteurs de passages, amateurs assidus et touristes égarés.

Dédiée au corps au sens large capté à travers les médiums de la performance, de la danse et de l’image en mouvement, l’édition 2019 aborde plus spécifiquement « la question des identités, des diasporas et des mémoires inscrites dans le corps« . Au programme cette année, Tarik Kiswanson, Emilie Pitoiset, Joao Pedro Vale & Nuno Alexandre Ferreira, Hannah Quinlan & Rosie Hastings ou encore Than Hussein Clark.

• MOVE, du 24 mai au 9 juin au Centre Pompidou à Paris

64eme-edition-salon-montrouge_exact1024x768_l.png

La jeune création tient salon

Chaque année, le Salon de Montrouge est l’occasion de prendre le pouls de la création contemporaine. Sélectionnés sur dossier, les artistes ont en commun d’avoir fait leurs études ou de travailler en France et de ne pas encore être représentés par une galerie. Dans les faits, cela donne un panorama certes de plus en plus diversifié en termes de nationalités (du moins, où la région parisienne ne domine pas), mais dont une grande majorité des artistes traverse la zone de turbulences située entre la sortie de l’école et les premières expositions en institution.

Telle est d’ailleurs bien la vocation du salon, doté de nombreux prix offrant des expositions (au Palais de Tokyo, à la Terrasse à Nanterre), des aides à la production ou des résidences (à Moly-Sabata). Dans une scénographie sobre ménageant un espace réservé à chacun des artistes, organisé selon quatre sections dessinant autant de rapports au monde, on arpente autant le Salon de Montrouge à la recherche de lignes fortes symptomatique de l’esprit du temps qu’on ne s’y laisse durablement happer par certaines présences magnétiques.

• 64e Salon de Montrouge, du 27 avril au 22 mai à Montrouge

Capturedecran2019-05-04a19.47.42.png
Anu Põder, « Lécheur.euse.s », 2007. Collection privée. Photo © Hedi Jaansoo

La langue de l’ornement

On la découvrait d’abord à la 13e Baltic Triennial l’été dernier (à lire aussi : notre review de l’événement). Au CAC Vilnius, qui accueillait le premier chapitre de Give Up the Ghost, se dressait au sol une palissade de langues érectiles. En plâtre, elles serpentaient organiques et vivaces, en parfait dialogue avec l’exploration des corps sans organes contemporains par les jeunes artistes de l’exposition. Sauf que ces langues-là avaient originellement été pensées depuis le contexte des années 1990, par une sculpteure estonienne disparue en 2013 et depuis relativement tombée dans l’oubli hors de son pays natal.

Anu Põder, c’est son nom, réapparaissait quelques semaines plus tard, cette fois à Berlin, dans une exposition de groupe de la très hype galerie Kraupa-Tuskany Zeidler, ici encore entourée du plus en vogue de la jeune création. Un signe certainement, désormais entériné par une exposition solo en France. C’est à La Galerie – CAC Noisy-le-Sec que la curatrice invitée Barbara Sireix propose une entrée dans son travail au plus près du corps, du textile et des matériaux vernaculaires qu’elle inscrit alors, selon ses termes, au plus près des « paradoxes sensuels d’un monde dominé par l’économie post-industrielle« .

• Une pièce pour mon corps d’Anu Põder, du 18 mai au 13 juillet à La Galerie – CAC Noisy-le-Sec

Aube-immediate-vents-tiedes.jpg

Derniers jours : le post-exotisme exposé

Autour de la notion de « post-exotique » de l’écrivain Antoine Volodine, les curatrices Victorine Grataloup & Diane Turquety ont réuni onze artistes ou duo d’artistes dont la sensibilité s’enracine dans les vestiges d’une utopie qui ne subsiste qu’à l’état de rêve. Déterritorialisée, provenant comme par échos ou remontées d’acides, depuis les tréfonds ouatés d’une mémoire sourde comme le sont les bas-fonds sous-marins, cette utopie-là, cet exotisme-là, infuse désormais des œuvres que l’on qualifierait également, de manière certes plus convenue, d’hybrides.

Chez Nils Alix-Tabeling, Mathis Atlmann, Gaëlle Choise ou encore Mimosa Echard & Michel Blazy, les matières et les textures s’entremêlent et se contaminent, sous un filtre enveloppe d’un spectre moiré des pièces qui, sous une lumière plus crue, se lisent également comme les témoins d’une planète inexorablement contaminée.

• Aube immédiate, vents tièdes (cur. Victorine Grataloup & Diane Turquety), jusqu’au 9 juin à Mécènes du Sud à Montpellier

<< à lire et à voir aussi : Jutta Koether au MUDAM Luxembourg ; Lucie Stahl à la galerie Freedman Fitzpatrick à Paris ; Luigi Ghirri au Jeu de Paume ; Rayyane Tabet au Carré d’Art >>

i

Pour prolonger votre exploration artistique, vous pourriez vous intéresser à Les 5 expos à ne pas rater en septembre en France, qui vous offre un aperçu des événements culturels à venir. Si vous êtes curieux des enjeux et réflexions autour de l’art contemporain, l’article Manifesta 13 à Marseille : les impasses de la culpabilité propose une analyse approfondie. Pour ceux qui souhaitent découvrir les expositions estivales, Notre tour de France des expos de l’été présente une sélection d’événements à travers le pays. En ce qui concerne les grandes manifestations internationales, la 58ème Biennale d’art de Venise, une foire comme les autres ? offre un regard critique sur cet événement majeur. Toujours à Venise, Laure Prouvost nous invite pour un road-trip à la Biennale de Venise propose une expérience artistique unique. Enfin, pour un retour sur les éditions précédentes, 55e Biennale de Venise : entre classicisme et propositions novatrices explore les contrastes et évolutions de cet événement incontournable.

À lire également
  • Les 5 expos à ne pas rater en septembre en France
  • Manifesta 13 à Marseille : les impasses de la culpabilité
  • Notre tour de France des expos de l’été
  • La 58ème Biennale d’art de Venise, une foire comme les autres ?
  • Laure Prouvost nous invite pour un road-trip à la Biennale de Venise
  • 55e Biennale de Venise : entre classicisme et propositions novatrices

La rédaction vous recommande

Séries

Squid Game saison 3 sur Netflix : une fin sanglante qui nous laisse de marbre 

cafeyn Netflix
A lire sur img large news
Où est le cool ? Abonné

Pourquoi Rick Owens est le créateur à l’honneur de cette Fashion Week ?

A lire sur img large news
Album Abonné

“Virgin”, Lorde revient à l’electro, mais sans retrouver sa magie d’antan

Lorde
A lire sur img large news
Où est le cool ?

Fashion Week, Jeanne Friot... Où est le cool cette semaine ?

A lire sur img large news
Cinéma

“The Social Network” : une suite signée Aaron Sorkin est en préparation

Aaron Sorkin Facebook
A lire sur img large news
Agenda

Cinéma en plein air, Les Inrocks x Mubi, Bérénice... Voici l'agenda de la semaine !

A lire sur img large news
Ingrid Luquet-Gad
Ingrid Luquet-Gad
Arts & Scènes

Anne Le Troter : “Ma pratique oscille entre poésie-action et écologie acoustique”

Les plus lus

Séries
1.

Squid Game saison 3 sur Netflix : une fin sanglante qui nous laisse de marbre 

Abonné Où est le cool ?
2.

Pourquoi Rick Owens est le créateur à l’honneur de cette Fashion Week ?

Abonné Album
3.

“Virgin”, Lorde revient à l’electro, mais sans retrouver sa magie d’antan

Où est le cool ?
4.

Fashion Week, Jeanne Friot... Où est le cool cette semaine ?

Cinéma
5.

“The Social Network” : une suite signée Aaron Sorkin est en préparation

logo lesInrocks logo lesInrocks

Recevoir notre newsletter

Dernier numéro

Dernier numéro
Accueil
Recherche

Nos derniers magazines

Nos derniers magazines
Nos derniers magazines
Nos derniers magazines
Nos derniers magazines
Nos derniers magazines
Voir tous les magazines sur le shop
logo lesInrocks

À la une

  • Les radios Combat
    • Les Inrocks Radio
  • Les magazines
  • Combat

Populaires

Critiques
Vidéos
critique
attitude
cafeyn
société-cheek
culture-cheek
instagram-cheek
jeux-video
#wtf-cheek

À propos

  • Accueil
  • Contact
  • Politique de confidentialité et données personnelles
  • Conditions générales de ventes
  • Le magazine
  • La boutique
  • Les Inrocks radio
  • Archives
  • Mentions légales et CGU
HS French Touch - market
MAG 42
OSZAR »