[Bilan 2024] À défaut d’être toujours heureux·se pour les travailleur·ses de l’industrie du jeu vidéo pris dans une déferlante sans fin de fermetures de studio et de licenciements, l’année a été une nouvelle fois riche en surprises ludiques enthousiasmantes et en belles confirmations.
Très attendu, le space opera des créateurs de “Skyrim” se révèle fabuleusement riche mais moins agréable à jouer qu’espéré.
Ce jeu vidéo enchanteur met en scène l’épopée d’un Petit Chaperon rouge en cosplay sorcière et de son doudou, tous deux plongés dans une série d’aventures plastiquement superbes.
La nouvelle création des auteurs d’“Enterre-moi, mon amour” nous fait accompagner son héroïne à travers l’une des journées les plus importantes de sa vie.
Avec ce remake d’un titre paru initialement sur la Wii, le blob faussement régressif de Nintendo revient joyeusement à la plateforme en 2D.
Le génial Jeff Minter (“Polybius”, “Tempest 4000”…) livre sa vision très personnelle d’un projet de shoot’em up abandonné par Atari en 1982.
De la plateforme 3D à l’ancienne, une anthologie néo-rétro et du tir à la manivelle : c’est notre sélection vidéoludique de la semaine.
Un petit loup et un faon perdus cherchent ensemble leur chemin à travers un monde enneigé dans le jeu plastiquement saisissant du studio nantais Casus Ludi.
Les mélodies de “Final Fantasy” à rejouer en rythme, 4 000 années d’Égypte antique et la Nintendo 64 en livre : c’est notre sélection vidéoludique de la semaine.
Elle tient dans la main, se veut alternative et se distingue par une manivelle multifonction. Tout en ouvrant de nouvelles perspectives pour les esprits joueurs.