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10 min

Édouard Louis : “Pendant longtemps, j’ai eu honte d’écrire sur la joie”

par Nelly Kaprièlian

Publié le 25 avril 2024 à 12h41
Mis à jour le 25 avril 2024 à 12h41

Édouard Louis © Jean-François Robert/Modds

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Avec “Monique s’évade”, l’écrivain raconte comment sa mère lui a, un jour, demandé de l’aide pour s’enfuir de chez un homme violent, et comment il a organisé sa fuite à distance. Un texte hyper lumineux, au rythme endiablé. Rencontre à Paris autour de la violence et de sa répétition, des modalités de l’évasion, de la littérature et la politique, et de la joie.

Trois ans après Combats et métamorphoses d’une femme, tu choisis d’écrire à nouveau sur ta mère. Pourquoi ?

Édouard Louis – Il y a des êtres qui sont protégés par le monde dans lequel ils vivent et d’autres qui sont condamnés à toujours fuir : c’est le cas d’une femme comme ma mère.

Dans Combats et métamorphoses, je racontais comment après plus de vingt ans avec mon père, elle s’était libérée de lui, d’un homme qui voulait qu’elle reste à la maison toute la journée, qu’elle élève les enfants, qu’elle fasse le ménage, qu’elle cuisine pour sept, etc.

Un jour ma mère s’est libérée, elle a mis toutes les affaires de mon père dans des sacs-poubelle et les a jetés dans la rue, elle a fermé les portes de la maison et elle lui a dit de ne plus jamais revenir. Elle s’est installée avec un autre homme, et je la croyais libre, mais un soir elle m’a appelé pour me dire que tout recommençait, en pire, que cet homme avec qui elle vivait l’insultait, que tous les soirs il buvait et l’attaquait, qu’il la traitait de salope, de pute. Ma mère devait fuir encore, et c’est sur cette scène que s’ouvre Monique s’évade. Au fond, le principe de la violence masculine qui s’abat sur les femmes, c’est la répétition. La répétition est l’essence même de cette violence : on ne se libère pas de la violence une bonne fois pour toutes, du jour au lendemain. Elle peut toujours revenir. Écrire une nouvelle histoire de fuite de ma mère, c’était utiliser la littérature pour rendre ce phénomène palpable, sensible. Comme si décrire la violence ne pouvait que prendre la forme d’une saga, puisque par définition la violence, c’est ce qui ne cesse de revenir.

Tu devais en fait publier un autre livre, L’Effondrement, autour de ton frère mort à 38 ans. Ces deux livres semblent fonctionner comme un diptyque d’opposés. Ton frère ne s’échappe pas, ta mère parvient à s’enfuir. Pourquoi avoir choisi de sortir ce dernier texte, plus lumineux, en premier ?

Il y avait d’abord une raison technique : L’Effondrement n’était pas terminé, je voulais travailler plus longtemps. La littérature, ça ne peut pas être un programme déterminé à l’avance, c’est une recherche, des détours, des échecs. Il y a quelques années, je préparais une pièce de théâtre avec Milo Rau, et la veille de la première, j’ai tout annulé : il y avait des centaines de billets vendus, des articles sur les répétitions, tout était annoncé, et pourtant je n’ai pas hésité. Pour moi, il est important que l’art reste un espace de recherches, d’accidents, de choses qu’on ne peut pas planifier.

Je travaillais sur le manuscrit de Monique s’évade en même temps que sur celui de L’Effondrement. J’ai terminé Monique avant. Le point commun entre ces deux démarches est le thème de l’évasion. Il y a d’un côté l’histoire de ma mère qui, un jour, va partir de chez un homme qui la maltraite. Elle prend une valise et son chien sous le bras, elle s’en va, et, à partir de là, elle va réinventer sa vie. Et puis il y a l’histoire de mon frère, qui a toujours su que sa vie était injuste, qui était pauvre et qui a toujours voulu s’échapper, mais qui n’a pas réussi. Il a utilisé l’alcool pour s’évader, mais l’alcool l’a détruit, jusqu’à le tuer. Il disait d’ailleurs : “J’ai bu pour m’évader et l’alcool est devenu ma prison.”

Ton “sujet” depuis En finir avec Eddy Bellegueule, c’est l’idée d’évasion ?

Oui. Tous les écrivains que j’admire ont inventé un type d’individu : Kafka l’homme pris dans le pouvoir et l’administration, Beckett l’individu enlisé dans la vieillesse et l’immobilité. Je ne me compare pas évidemment, je m’inspire, et ce qui m’intéresse, moi, c’est de mettre au coeur de mon travail l’individu qui s’enfuit, qui s’évade. Eddy Bellegueule racontait ma fuite du village dans lequel je suis né, dans Histoire de la violence je m’interroge sur l’amitié comme manière d’échapper à la machine judiciaire et au traumatisme de la violence sexuelle. Qui a tué mon père au contraire, comme L’Effondrement, dresse le portrait d’un homme qui veut fuir mais qui n’y parvient pas.

Ce qui me frappe, dans cette fresque de l’évasion, c’est que je me rends compte que ce sont les individus les plus dominés du milieu de mon enfance qui ont réussi à fuir. Pas les dominants. Parfois, être encore plus dominé que les autres, c’est ce qui rend la liberté possible. C’est le paradoxe de la domination. Les hommes dans ma famille, mon père et mon frère, quand ils vivaient des choses violentes, ils le vivaient sur le mode du choix, alors qu’en fait cela les condamnait. Ils buvaient parce qu’ils étaient des “vrais hommes”, ils faisaient des choses dangereuses parce qu’ils n’étaient pas des “pédés”, ils pensaient décider de tout, alors que cela les broyait. C’est l’aliénation au sens marxiste, on se croit libre alors qu’on ne l’est pas, et que c’est ce qui nous enferme. Au contraire, les femmes dans mon milieu, ou les gays, ne pensaient jamais qu’ils étaient libres : c’était les hommes qui disaient “Tu dois faire ceci, tu dois cuisiner, tu dois te taire”. Ce qui fait qu’une femme comme ma mère, à un moment donné, a pu dire : je vais reprendre ce qu’on m’a volé. Tous les dominés de mon enfance sont ceux qui ont survécu, et tous les dominants ont été brisés. Cela interroge les catégories traditionnelles de la politique. Qu’est-ce-que la domination, le pouvoir ? La domination n’est pas une photographie, elle n’est pas fixe, au contraire, elle est un courant électrique, une rivière, elle est fluide, elle prend des bifurcations. 

Dans Monique s’évade, il y a une tonalité différente à ce thème de l’évasion, qu’on ne trouvait pas dans tes livres précédents…

Oui, c’est la joie. Monique s’évade est un livre de joie totale, la joie d’une femme qui se libère, qui réinvente totalement sa vie à 55 ans, qui va pour la première fois de sa vie avoir une maison rien que pour elle, pour la première fois de sa vie habiter sans un homme qui lui donne des ordres, qui va pour la première fois de sa vie voyager…

Pendant longtemps, j’ai eu honte d’écrire sur la joie. Je me disais qu’il y avait trop de laideur dans le monde, trop de problèmes, et qu’écrire sur la joie était presque un scandale. Je me disais que parler de la laideur du monde, c’était lutter contre cette laideur, alors que parler du bonheur, c’était simplement conforter dans leur position ceux qui y ont déjà accès. Avec Monique s’évade, j’ai compris à quel point j’avais eu tort. Parce que la joie, si elle est une revanche, est politique. La joie de ma mère est une revanche contre un destin domestique que le monde a tenté de lui imposer. C’est comme la joie qui se dégage de la LGBT pride, où les gens dansent : des gays ou des lesbiennes à qui on a dit toute leur enfance qu’ils devaient avoir honte de ce qu’ils sont affirment tout à coup leur joie d’être ce qu’ils sont. Cette joie-là est révolutionnaire.

La liberté a un coût. Sans ton aide financière, ta mère ne pourrait pas se libérer. Beaucoup ne personnes ne le peuvent pas pour des raisons économiques.

Oui, c’est le thème central du livre : le prix de la liberté. Comment aurait pu faire ma mère pour fuir un homme qui la faisait tant souffrir si elle n’avait pas eu d’argent pour prendre un appartement loin de lui, payer une caution, se nourrir ? Elle avait déjà souffert de cette situation ; dans Monique s’évade, elle dit qu’elle a souffert pendant vingt ans avec mon père, qu’elle voulait partir, mais elle ajoute : “Je serais partie pour aller où ?”. Combien de femmes souffrent pendant des années parce qu’elles ne peuvent pas payer ce prix de la liberté ?

Je cite dans mon livre l’essai de Virginia Woolf, Un lieu à soi. Un jour, on demande à Woolf de faire une conférence sur les femmes et la littérature et elle répond : pour que les femmes puissent écrire, il faut leur donner 500 livres par an et un lieu à elles. Woolf répond à une question symbolique par une question financière, matérielle. C’est comme si elle disait aujourd’hui : pour que les femmes puissent écrire, il faut augmenter le RSA, les aides sociales. C’est magnifique, et extrêmement radical. Et c’est la même chose pour ma mère : pour se libérer, elle avait besoin d’argent. La liberté n’est pas une question abstraite, mais matérielle, financière.

Pourtant, dans la bourgeoisie aussi, il y a pour certaines femmes une forme de dépendance financière…

Ce sont d’autres mécanismes. Ça me fait penser à la série de Gus Van Sant, Capote vs the swans. J’ai rencontré le mois dernier une éditrice à New York qui les avaient toutes rencontrées, ces swans, dans les années 70. Ça m’a bouleversé. Elle m’a dit que toutes ces femmes étaient si intelligentes, et si malheureuses, parce qu’elles suffoquaient de leur existence mondaine, surtout Babe Paley. Mais au fond, si elles partaient, elles perdaient leur statut, l’argent que leur mari avait, puisqu’on avait attendu d’elles, comme femmes, qu’elles ne fassent pas carrière. 

J’en reviens à la violence. Quand tu vas déménager les affaires de ta mère, tu vois ce type qui l’a insultée, et tu le trouves pathétique…

C’est une scène centrale du livre : soudain, je vois cet homme qui a fait tant de mal à ma mère, et la vérité, c’est que je m’attendais à voir un monstre. Mais non, je vois un petit bonhomme pathétique, misérable, assommé de voir ma mère partir. Et je me demande : comment est-ce qu’un être à l’allure aussi insignifiante a-t-il pu infliger tant de violence ? D’où a pu émerger cette violence ? Est-ce qu’il en est la source ou le conducteur ?

Quand est-on ou n’est-on pas responsables ?

Je crois qu’il n’y a rien de plus opposé au monde qu’un tribunal et une oeuvre littéraire. Un tribunal est un lieu où on juge, condamne, responsabilise. La littérature est le lieu où on doit tenter de comprendre les origines de la violence, la déconstruire, déresponsabiliser, montrer que la violence vient d’une histoire, de structures sociales, de forces que les individus ne maîtrisent pas.

On sait tous qu’il y a toujours quelque chose de complexe quand un homme ou une femme commet quelque chose de violent. Demandez à une mère dont le fils est criminel, elle vous dira toujours qu’il n’est pas tout à fait responsable, qu’il a des excuses, qu’il y a quelque chose que les juges ne voient pas. Ce n’est pas forcément de l’aveuglement : c’est que quand on est proche d’un individu, quand on le regarde suffisamment, comme une mère peut parfois regarder un fils, on sait toujours que ce qu’il a fait ne dépend pas entièrement de lui. Geoffroy de Lagasnerie a écrit des pages magnifiques là-dessus dans son livre Se méfier de Kafka. D’ailleurs, tout le monde sait ce que je dis là ; nous avons tous, à un moment de nos vies, vécu une situation comme celle là : on passe une mauvaise journée au travail, on rentre le soir et, à cause de ce qu’on a vécu, on est agressif avec quelqu’un qu’on aime. Et on s’en veut. Tout le monde sait que la violence peut nous traverser, sans qu’on la maîtrise, tout le monde. Et cette règle individuelle est aussi une règle sociologique. Condamner les individus, c’est laisser les causes qui produisent la violence se reproduire. Alors que s’attaquer aux causes plutôt qu’aux individus, c’est tenter d’empêcher que les causes n’engendrent d’autres individus violents. Les obsédés de la responsabilité et du jugement sont en fait complices de la reproduction de la violence. Ils accusent ceux qui essayent de comprendre la violence d’être complaisants avec la violence, ils disent “vous justifiez”, mais c’est le contraire. Excuser, c’est lutter contre la violence.

Aujourd’hui tu fais partie d’une classe sociale bourgeoise, culturelle. Comment t’y sens-tu ?

Je m’y sens de plus en plus mal à l’aise. Je raconte dans Monique s’évade qu’au moment où ma mère se sauve de chez l’homme avec qui elle vivait, je suis à l’étranger. C’est ce que je fais de plus en plus : je pars, je suis très peu à Paris, je suis devenu malgré moi un écrivain voyageur, parce que je supporte de moins en moins la violence d’une partie du champ culturel. Et puis m’éloigner de ce monde me permet de garder ma radicalité, de ne pas me conformer aux attentes du monde culturel.

D’ailleurs, nous parlions de responsabilité juste avant, j’ai parfois raconté que quand j’ai publié Eddy Bellegueule et Histoire de la violence, dans lesquels je parlais beaucoup du racisme et de l’homophobie dans les classes populaires, en disant que j’essayais d’en trouver les causes, on m’a répondu que je faisais du “chantage sociologique”. On m’a répliqué que quelqu’un qui commet un acte homophobe est toujours responsable. Mais quand j’ai publié Qui a tué mon père, en parlant de la violence des gouvernements, de Macron, de Hollande, contre les pauvres, les mêmes commentateurs du monde culturel m’ont répliqué : “Ah mais ce ne sont pas Hollande et Macron qui sont responsables, c’est plus compliqué que cela, ce sont des cabinets, c’est l’Union européenne.” C’est étrange.

Pour une partie de la bourgeoisie, les dominés sont toujours responsables, et les dominants ne le sont jamais. Alors que dans la réalité, c’est le contraire qui se passe : c’est quand tu as du pouvoir, des connaissances, de l’argent, que tu es d’autant plus responsable, puisque tu as d’autant plus d’outils pour te mettre à distance du monde, et pour l’analyser. Au fond, sociologiquement, ce sont les dominants qui sont toujours responsables, et les dominés qui ne le sont jamais.

Comment vois-tu la suite ?

Je veux construire une fresque du monde social, avec dans chaque livre des portraits de personnages différents des classes populaires. J’aime les auteurs comme Proust, Émile Zola, Jamaica Kincaid, Balzac, qui ont fait une oeuvre sous la forme d’une fresque.

Pour moi, l’idée de fresque est aussi une manière d’échapper à une pression de l’édition, qui a tendance à attendre un nouveau livre choc d’un auteur tous les deux-trois ans. Une nouvelle “petite chanson”, disait Céline pour s’en moquer. Une littérature spectacle. Je ne suis pas là pour amuser la bourgeoisie tous les deux-trois ans avec une nouvelle surprise. Je préfère construire quelque chose dans la durée.

Propos recueillis par Nelly Kaprièlian

Monique s’évade, d’Édouard Louis, Seuil, 162 p, 18 €. En librairie le 26 avril.

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