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12 min

L’Americana en 25 disques-cultes

par Franck Vergeade, François Moreau et Joseph Ghosn

Publié le 20 janvier 2022 à 10h20
Mis à jour le 20 janvier 2022 à 11h57

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Paysages désolés, gueules cassées et moments de grâce, “Les Inrocks” ont ratissé les routes accidentées de l’americana en 25 albums incontournables ou oubliés, de Palace Brothers à Sparklehorse, de Beck à Weyes Blood.

Mark Lanegan The Winding Sheet (1990)

En vacances de son groupe Streaming Trees, Mark Lanegan s’invente une carrière de crooner grunge, au moment où le genre n’est pas encore identifié : son disque raconte les soubresauts de l’Amérique de la fin des années 1980, qu’il chante d’une voix de stentor dépressif, à la façon d’un Johnny Cash démoli. Au bout du disque, il reprend le classique de Leadbelly Where Did You Sleep Last Night, sur lequel il invite un jeune guitariste nommé Kurt Cobain, et figure la transition idéale entre le blues profond et l’esthétique de Nirvana – Cobain s’en souviendra pour le MTV Unplugged de son groupe. J.G.

American Music Club Mercury (1993)

Presque vingt ans d’âge pour le chef-d’œuvre de Mark Eitzel, leader du groupe franciscanais au beau nom programmatique. Ce sixième album est, de loin, le plus saillant dans la discographie d’American Music Club. Avec sa voix éplorée, Mark Eitzel bouleverse régulièrement (Gratitude Walks, I’ve Been a Mess et le classique Johnny Mathis’ Feet) dans ce disque qui flirte parfois avec la country (la pedal steel de Bruce Kaphan) et des accents jazz – la production de Mitchell Froom parachevant le tableau. F.V.

Palace Brothers There Is No-One What Will Take Care of You (1993)

There Is No-One What Will Take Care of You. Plus qu’une promesse, une devise. Celle de l’Amérique des paysages désolés, des arbres nus et des routes enneigées. Le premier album de la longue saga discographique de Will Oldham (qui prendra bien des pseudonymes, de Palace à son plus célèbre Bonnie ‘Prince’ Billy) est décharné jusqu’à l’os. Ici, les banjos sans joie s’effilochent à chaque grattement rachitique et la voix de Will, désœuvrée, porte en elle les affres d’une histoire fracturée de l’Amérique. “Unhappiness at last/Will last/And last.” F.M.

Beck One Foot in the Grave (1994)

Avant Loser et le succès phénoménal de Mellow Gold, Beck avait mis en boîte One Foot in the Grave, sorti une fois le blondinet passé de l’underground à la lumière. Dans la veine de ses premiers enregistrements (le cradingue Golden Feelings un an plus tôt), cette collection de chansons plus lo-fi tu meurs revisitent en tapant du pied sur le plancher branlant – aux côtés de l’incontournable Calvin Johnson – le blues de Skip James ou le folk de la Carter Family, dans une forme brute et dépouillée qui inspirera la nouvelle vague anti-folk new-yorkaise quelques années plus tard. Beck avait, définitivement, le Fucked Up Blues. F.M.

Lambchop I Hope You’re Sitting Down/Jack’s Tulips (1994)

Difficile de choisir un album en particulier dans la discographie exemplaire de Lambchop depuis quatre décennies, alors autant commencer par le début. Où le groupe de Kurt Wagner, qui travailla le bois dans un autre vie, se révèle un expert en ballades boisées et un chef d’orchestre hors pair. Parmi ces merveilles en provenance de Nashville, Soaky In the Pooper touche véritablement au sublime. F.V.

Vic Chesnutt Is the Actor Happy? (1995)

Handicapé depuis un accident de voiture à sa majorité, ce songwriter américain doit sa notoriété à Michael Stipe, qui le découvre en 1987 à un concert à Athens, la ville attitrée de R.E.M. Après trois albums de country folk neurasthénique, Vic Chesnutt publie, au mitan des années 1990, ce disque aussi inoubliable que sa prestation au Festival des Inrocks 1995 à La Cigale. Dans Is the Actor Happy?, on trouve une douzaine de ballades fiévreuses et poignantes qu’on se surprend même parfois à siffloter sur un air d’harmonica (Doubting Woman). F.V.

https://www.youtube.com/watch?v=z9sEjtal9wc
Smog Kicking A Couple Around (1996)

Plusieurs disques de Bill Callahan, alias Smog, racontent l’Amérique déconfite des années 1990. Mais sur celui-ci, en quatre titres, il parvient à quelque chose de très puissant, qui conte le quotidien de l’americana de ces années-là, faisant référence à des états amoureux limites, des impuissances sociales et des vertiges intimes profonds : c’est le lien exact entre l’Amérique fantasmée et celle des nerds, des geeks. Et c’est toujours très beau, surtout lorsqu’il chante I Break Horses. J.G.

OP8 Slush (1997)

Un seul et magnifique album pour ce supergroupe constitué de Howe Gelb, le leader de Giant Sand, John Convertino et Joey Burns, alias Calexico, et Lisa Germano, la chanteuse américaine qui commença sa carrière dans le backing band de John Cougar Mellencamp. Leur association éphémère fait ici des monts et des merveilles (Sand, Lost in Space, If I Think Of Love) – l’auditoire parisien présent aux Étoiles pour leur concert à l’automne 1997 s’en souvient encore avec des… étoiles dans les yeux. F.V.

Bonnie ‘Prince’ Billy I See a Darkness (1998)

Après plusieurs années passées à explorer la country indé au sein de Palace Brothers/Palace Music/Palace Songs/Palace, Will Oldham a adopté, pour clore les nineties, le surnom de Bonnie ‘Prince’ Billy. Sur ce premier album, il pousse le désir d’americana à son comble, rassemblant son groupe pour enregistrer dans une maison, tous ensemble, des chansons qui évoquent le désir et la peine, l’amitié et la camaraderie – quelque chose de rural, quelque chose de l’Amérique qui se cherche et tente de s’éloigner des villes. Plus de vingt ans après sa sortie, le disque demeure un morceau charbonneux d’une époque en plein glissement, d’une Amérique qui se cherche, entre les guerres internes et les conflits à l’étranger. J.G. 

Low Secret Name (1999)

Infatigables depuis leur antre de Duluth, Minnesota, Alan Sparhawk et Mimi Parker livrent dans les années 1990 des albums cafardeux, entre post-rock désolé et… slowcore dépressif à l’image des titres choisis (I Could Live In Hope, One More Reason to Forget). Secret encore bien gardé de la musique américaine alternative, Low signe en 1999 son premier chef-d’œuvre à la pochette étonnamment fleurie. Impossible de rester de marbre devant ces chansons qui vous prennent littéralement aux tripes. F.V.

Radar Bros The Singing Hatchet (1999)

Frères spirituels de Palace Brothers de Louisville, les Radar Bros de Los Angeles ont livré, au tournant des années 1990/2000, une poignée d’albums d’americana dont The Singing Hatchet est sans doute la quintessence. Avec sa voix traînante et familière (on croirait entendre Jason Lytle de Grandaddy), Jim Putnam nous raconte des histoires à dormir debout (Shoveling Sons, All the Ghosts, Gas Station Down) avec l’air de ne pas y toucher. Une passionnante excursion en terres américaines. F.V.

Sparklehorse It’s a Wonderful Life (2001)

N’y allons pas par quatre chemins : ce troisième album du regretté et génial Mark Linkous (qui s’est suicidé en 1990) est l’un des plus grands disques de ces deux dernières décennies. Tout – du single Gold Day adressé à son jeune fils au conclusif Babies On the Sun – émeut, chamboule et bouleverse l’auditeur. Au générique de ce millésime, figurent entre autres PJ Harvey, Nina Persson, Tom Waits ou encore Adrian Utley de Portishead. Peut-être le disque américain aussi lumineux que réconfortant qu’on emporterait sur une île déserte. F.V.

Johnny Cash American IV: The Man Comes Around (2002)

Dans les années 1990, Johnny Cash, sous l’impulsion de Rick Rubin, vit une renaissance : en quelques albums, d’abord acoustiques, enregistrés sur le canapé du producteur, il se remet en selle, donnant de sa vision de l’Amérique une version nouvelle, plus à l’os, plus meurtrie et plus exploratoire aussi : s’y greffent ses classiques et des reprises. Sur The Man Comes Around, il pousse l’exercice à son apogée, reprenant notamment Hank Williams Billy mais aussi le morceau folklorique Danny Boy, comme une façon de mettre en rapport les racines du pays avec quelque chose de la modernité. Comme un tableau à plusieurs strates de l’Amérique. J.G.

Earth Hex: Or Printing in the Infernal Method (2005)

Dylan Carlson s’est fait connaître comme l’ami de Kurt Cobain, qui lui fournit l’arme du suicide : ce qui mit à mal la musique de son groupe, dont les premiers disques étaient une version metal de la musique minimaliste de Terry Riley. Son album Earth 2 donnera même naissance au genre du drone metal dont le duo Sunn O))) est le premier représentant. En 2005, Dylan Carlson, après des années de dépression, revient sur le label de Sunn, justement, avec un disque inspiré des écrits de Cormac McCarthy, explorant eux-mêmes l’Amérique des plaines, des déserts, des solitudes. Ici, en une poignée de morceaux instrumentaux, convoquant à la fois le western et le metal, la saturation (des guitares, des sentiments) et l’insolation (des corps qui jouent sans cesse les mêmes riffs), Earth se réinvente et donne une image de l’Amérique profonde, silencieuse, meurtrie, sensible, qui regarde son histoire et se souvient de ses morts. Un des grands albums des années 2000, tous genres confondus. J.G.

Warpaint Exquisite Corpse (2009)

Formé en 2004 à Los Angeles, ce quatuor féminin débute sa carrière avec John Frusciante, l’ancien guitariste des Red Hot Chili Peppers, qui mixe cet étourdissant EP Exquisite Corpse. En six titres seulement, Emily Kokal, Theresa Wayman, Jenny Lee Lindberg et Stella Mozgawa rivalisent de trouvailles mélodiques (Stars, Elephant) et de pouvoirs magnétiques (Billie Holiday). Le slowcore ombrageux de Warpaint se pare de réminiscences shoegaze sous le soleil aveuglant de la Californie. F.V.  

Jessica Pratt Jessica Pratt (2012)

L’écoute prolongée des disques de Jessica Pratt peut avoir des effets de troubles cognitifs importants. Ce premier album, mis en boîte dans une chambre au début des années 2010, semble débarqué d’un autre temps et de différents lieux aujourd’hui oubliés. Habité par des figures mémorielles, celles de Leonard Cohen ou de la folkeuse britannique Vashti Bunyan, Jessica Pratt éclaire à la bougie les fantômes d’une Amérique hantée et fait taire le brouhaha supersonique de son époque. F.M.

Adrianne Lenker & Buck Meek B-sides (2014)

La pochette du disque est passée au filtre rouge. Sur la photo, Adrianne Lenker et Buck Meek (à l’origine des prolifiques Big Thief) posent devant un camping-car sans âge, une façon de rappeler que ces deux-là ont ratissé les routes américaines aussi loin qu’ils peuvent se souvenir. Nues et dépouillées, les sept chansons qui composent cet album évoquent les vents qui traversent les rues de New York, les feuilles qui tombent, le temps qui passe, les souvenirs immémoriaux de ses auteurs. F.M.

Sun Kil Moon Benji (2014)

Dans les années 1980 et 1990, Mark Kozelek officiait au sein de Red House Painters, signé chez les Anglais de 4AD. Après la fin de ce groupe, il se met à Sun Kil Moon dont les disques sont, plus encore qu’auparavant, des enregistrements de son flux de pensée, de ses errements internes, de ses commentaires sur la réalité américaine l’entourant. En cela, Benji est son chef-d’œuvre, son disque le plus abouti en ce qu’il est aussi son plus fragile, parvenant à faire de scènes anodines des moments de sensibilité absolue : en regardant l’Amérique, Kozelek dévoile quelque chose qui ressemble à un homme en pleine chute mais qui se relève toujours au dernier moment. C’est bouleversant, comme de vivre au creux d’un autre. J.G.

Aldous Harding Aldous Harding (2014)

Des chœurs balayés par un vent de plaine, comme si le paysage s’était mué en cathédrale. L’ouverture du premier album de la Néo-Zélandaise, magistrale et minimaliste, laisse présager que le pire est passé et que le moment est venu de se recueillir. Ou de raviver les plaies. Sobrement orchestré, le disque est plus beau que jamais quand il ne s’embarrasse de rien d’autre qu’une guitare folk, laissant toute latitude à la voix d’Aldous Harding, flanquée sur la pochette d’une casquette de trucker, pour exalter toute sa bizarrerie surréaliste et indélébile. F.M.

Weyes Blood Front Row Seat to Earth (2016)

Quelque chose de Joni Mitchell, des chanteuses de Laurel Canyon, habite Weyes Blood : une dramaturgie, une mélancolie, une nonchalance tout de même grave qui traîne dans sa voix, dans ses arrangements. C’est flagrant dans cet album et son morceau d’ouverture qui réarrangent l’Amérique à la façon d’un pays devenu lunaire, réinventé, presque réenchanté aussi. Sa position est celle d’une chanteuse qui charrie en elle les fantômes des autres, et quelque chose d’une peine qui traverse le pays pour ressortir dans ses compositions. Et à l’image même du pays, ces dernières peuvent être tout à la fois boursouflées et candides, sensibles et grossières – hypnotiques pour le moins. J.G.

Hayden Pedigo Greetings From Amarillo (2017)

Quel personnage étrange que cet Hayden Pedigo. Enfant d’Amarillo, Texas, âgé de 27 ans, Hayden compte déjà pas moins de six albums et de nombreuses collaborations (on l’a notamment croisé aux côtés du batteur Charles Hayward, cofondateur de la formation post-punk This Heat, ou de Werner Diermaier de Faust). Si la guitare est son instrument (les figures de Ry Cooder et John Fahey ne sont jamais très loin), il documente, esquisse, relate les panoramas de ses terres texanes dans des disques instrumentaux alternant plages électroniques nébuleuses et fingerpicking ancestral. L’exemple encore ici, sur ce Greetings From Amarillo en forme de carte postale, se concluant par les mots et le ton ginsbergien de Terry Allen, immense artiste de Lubbock, Texas dont Pedigo s’est très tôt entiché. F.M.

Townes Van Zandt Sky Blue (2019)

Townes Van Zandt n’a pas attendu de passer l’arme à gauche pour devenir une légende de la musique américaine. Décédé dans le Tennessee en 1997, le Texan, figure majeure de l’outlaw country, auteur/compositeur du classique Pancho & Lefty rendu tour à tour populaire par Emmylou Harris et Willie Nelson, est désormais un mythe. En 2019 sort ce Sky Blue posthume au titre trompeur, qui semble chercher une éclaircie à travers cette collection de versions revisitées de ses chansons – sa seule raison de vivre –, qui auraient toutes pu s’appeler Essai sur la condition lamentable de l’être humain. Le disque contient par ailleurs deux morceau inédits : Sky Blue et All I Need. “Always sing the same sad song/No wonder that I feel this way.” F.M.

Bonnie ‘Prince’ Billy & Bill Callahan Blind Date Party (2021)

Ils ont débuté ensemble et ont rarement croisé leurs chemins. Ici, ils enregistrent un disque de reprises et d’interprétations, long et riche, qui demande plusieurs écoutes pour comprendre réellement l’alchimie entre eux. Notamment lorsqu’ils reprennent Robert Wyatt, mais surtout lorsqu’il jouent OD’d in Denver, morceau de Hank Williams, Jr. qui raconte la vie d’un musicien américain sur la route, au plus cru, au plus crasseux aussi, entre overdose, perte de mémoire et vie foireuse. C’est aussi cela l’americana : une confession permanente de toute la misère qui vous habite. J.G.

Lana Del Rey Chemtrails Over the Country Club (2021) 

Est-ce de la pop ou de l’americana ? Sur cet album, la chanteuse de Video Games, habituée sur ses premiers disques à raconter l’Amérique des caravanes et des deals sordides mais aussi celle du Château Marmont, commet son disque californien le plus réussi : après tout, pour parler de l’Amérique, il faut parler de la Californie. Et Lana, fille des Adirondacks de l’Est, parvient mieux que personne à rendre compte, au fil des morceaux, de l’étrange sentiment qui vous saisit à LA : celui d’être dans le monde et très éloigné de lui. Elle reprend, en bout de course, un morceau de Joni Mitchell (For Free), qui fait le lien entre les traditions et perpétue cette façon de chanter ce qui vous arrive, là, entre les rues et les collines d’une ville qui aura inspiré autant de disques que le pays lui-même. J.G.

Turner Cody & The Soldiers of Love Friends in High Places (2021)

L’année dernière, Turner Cody revenait aux affaires avec cet album mis en boîte avec le Belge Nicolas Michaux. Un disque d’outlaw soûlard, sensible et claudiquant, qui rappelle autant le son laid back d’un J.J. Cale que la gouaille d’un Kinky Friedman. Figure majeure de la scène anti-folk du New York du début des années 2000, outsider passé à côté des radars de l’industrie et compagnon de route du Français Herman Dune, ce cowboy à la manque de Turner incarne l’americana dans sa forme la plus sensible et burlesque à la fois. F.M.

i

Après avoir exploré « L’Americana en 25 disques-cultes », vous pourriez être intéressé par d’autres perspectives musicales. Plongez dans l’univers du grunge avec Mark Lanegan, mort d’un crooner écorché et pionnier du grunge, un hommage à une figure emblématique de la scène musicale. Si vous vous interrogez sur l’évolution du rock américain, l’article 2021 : où en est le rock made in USA ? vous offre une analyse actuelle de ce genre. Pour une approche musicale liée à l’actualité politique, découvrez Election présidentielle aux USA : 50 Etats réunis dans une playlist, une sélection qui reflète la diversité des États-Unis. Remontez le temps avec La playlist de l’année 1969, une année charnière pour la musique. Revivez les émotions de 1995 : Jeff Buckley nous ouvrait son cœur (et sa discothèque), un artiste dont l’impact reste indélébile. Enfin, pour une perspective britannique, l’article [L’Odyssée du rock UK 12/20] Ray Davies nous raconte The Kinks vous plonge dans l’histoire d’un groupe légendaire. Ces articles vous permettront d’explorer différentes facettes de la musique et de son histoire.

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