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10 min

Première rencontre avec WU LYF, la musique du diable

par JD Beauvallet

Publié le 24 mars 2025 à 12h20
Mis à jour le 24 mars 2025 à 14h40

WU LYF © DR

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[À l’occasion de l’annonce de la reformation de WU LYF, nous republions le récit de notre première rencontre avec le groupe en juin 2011] Avec WU LYF, collectif de Manchester à l’imagerie opaque et aux chansons aveuglantes, une révolution économique autant qu’artistique est en marche. Ces adolescents souvent masqués, amoureux du risque, ont décidé que le vieux monde était derrière eux.

Manchester. Quand le rock anglais s’égare, hagard, il devient un phare. De là est venue la lumière dans la nuit depuis plus de quarante ans. Joy Division, Buzzcocks, The Fall, New Order, The Smiths, The Stone Roses, Happy Mondays, l’acid house, Oasis, The Chemical Brothers pour ne citer qu’eux : la liste est longue de celles et ceux qui ont dégondé le rock ou la pop. La liste est longue et elle finit aujourd’hui à la lettre W. Wu Lyf, donc. Prononcer Wu comme dans “Wu-Tang Clan” et Lyf comme “life”. Ce sigle guerrier cache une identité plus mystérieuse : World Unite, Lucifer Youth Foundation.

BO de l’Apocalypse

On ne remerciera jamais suffisamment l’insomnie qui nous condamna à une de ces nuits exaltantes de recherche sur le net. Au bout de cette quête nocturne, Manchester, et ce collectif aux chansons opaques, aux rituels déjà étonnants. Des garçons masqués pour un rock qui osait l’inconnu. Trois titres alors seulement : on les adopta comme hymnes d’une révolution contre la stagnation, le chiqué, l’affairisme et la lâcheté de trop de rock anglais. On découvrait un groupe qui refusait l’apathie (for the devil), et ça faisait du bien, du mal.

Une des chansons s’appelait Such a Sad Puppy Dog, long maelström de bruits et de furie, commençant en tremblement de terre par un orgue insurgé, en BO de l’Apocalypse, une symphonie de Lucifer, finissant en rap des cavernes, un truc vraiment choquant qui mélangeait les atmosphères viciées de Godspeed You! Black Emperor aux rimes détournées de 2Pac. C’était peut-être une plaisanterie de studio. On la prit au pied de la lettre, comme un morceau important, qui pouvait engendrer une insurrection. Puis il y avait Heavy Pop, une chanson qui portait merveilleusement son nom, beauté fragile, hurlée d’une voix plaintive et menacée par la lourdeur du monde, en un bombardement d’idées noires et de pluies acides. Cette chanson, à elle seule, rendait militant. Pas une semaine sans qu’on se transforme en ambassadeur, insistant, de ce groupe troublant.

Rites cryptiques, jeux de piste et symboliques

Début 2010, Wu Lyf prend chair. Heavy Pop devient à Manchester une soirée mensuelle, qui se tiendra pendant six mois dans le minuscule café An Outlet, installé dans l’un des plus anciens entrepôts laissés par la révolution industrielle. En poussant les meubles et en couvrant les murs de tentures noires, le groupe établira son nom au rythme de concerts possédés. Un triomphe grandissant, auquel Wu Lyf mit un terme le jour où la hype commença à pointer son vilain nez. Car à l’époque, quiconque se passionne pour le groupe se trouve invité à un jeu de piste récalcitrant, voire hostile. Pas de MySpace, et un site désinformé. Il faut faire avec le peu de renseignements disponibles, comme les différents noms qu’utilisa le groupe. Avant Wu Lyf, donc, il y aurait eu Vagina Wolf, Tu Wang Clan, All In This Together Now Crew, Wu Lf Wu Lf, Wu Def ou We Bros. Il y aurait eu des tentatives hip-hop, des carrières brisées de skate-boarders, des études avortées en brûlant les ponts, pour être certain de ne se consacrer qu’à la musique… Il y a surtout eu une quête absolue d’inconnu, une intransigeance de tous les instants pour refuser l’inertie, le statu quo. Le frêle mais imposant chanteur Ellery Roberts explique : “J’ai toujours eu en tête une vision de mon groupe préféré, celui que j’attendais. Comme il n’existait pas, je l’ai créé. Je joue désormais le rôle de chanteur dans mon groupe préféré. Mais nous, en tant que garçons, nous n’existons pas, nous ne comptons pas, seul le groupe a de l’importance.”

Au printemps 2010, Wu Lyf met en vente, en série très limitée et chère, son premier maxi, uniquement en vinyle. Commandé, l’objet arriva accompagné d’un livret-poster plutôt occulte et d’un bandana, celui-là même que le groupe portait alors sur scène et sur ses rares photos. Le texte-déclaration de foi, écrit d’une plume hallucinée, mystique, évoquait “le courage d’enfants osant demeurer enfants” et attendant “le porteur de lumière”. Ce thème de l’enfance sacrée revient souvent dans le discours du chanteur. “Je me contente de continuer le genre de jeu de rôle dans lequel on se réfugie quand on est mioche  : tout ce que l’âge adulte interdit ensuite. Je joue le chanteur. Il fallait que je sorte de ce que je suis : un petit Blanc anglais des classes moyennes. Toute la musique, les films, les livres que j’aime m’éloignent de ce que je suis de naissance. Chez Salinger par exemple, je me reconnais totalement dans ce mélange extrême d’euphorie et de mélancolie des personnages. Ils font l’adolescence. Mon rôle de chanteur m’autorise à devenir qui je veux.”

Un phare dans la nuit de Manchester

La symbolique de ce texte-manifeste peut sembler naïve mais, quand on voit le groupe en concert, on sent immédiatement cette dimension messianique : si Manchester est un phare, Wu Lyf est le gardien de sa lumière, et se battra pour elle. Ce premier single n’a jamais rejoint la collection de disques. Il n’appartient qu’à lui, peut-être même est-il doté de pouvoirs magiques, toxiques. Qui sait s’il ne brille pas la nuit, irradiant la pièce de ses morsures fatales ?

Longtemps, on eut des nouvelles du groupe uniquement par mail ou sur son site, où il épinglait des messages exaltés. Le mythe se construisit au fil de ces brûlots, qui revendiquaient une différence acquise à force de refus. Jeunesse têtue, en guerre contre un système inadapté. Ellery sait de quoi il parle. Il a lutté toute sa vie pour sa différence, isolé par son drôle d’accent raffiné et fausset dans le Nord épais – sa petite ville de banlieue mancunienne s’appelle Ramsbottom, “le cul du bélier”. “Un cul de sac, conservateur, où ma famille et moi avons toujours été en marge… J’ai appris à vivre en reclus, indépendant. Ça m’a construit. Pendant longtemps, la groupe a ainsi vécu en gang, retranché contre le monde.”

Un contrat sous forme d’album

Cette construction personnelle, à force de lectures et de recherches, lui a fait découvrir qu’ailleurs l’apathie de la jeunesse n’était pas un acquis. Ellery puisera une partie de son imaginaire dans les images de Mai 68, avec lesquelles il bricolera un film de fin d’études. “Depuis toujours, je me sens plus proche de la culture française que de l’anglaise. J’admire cette façon qu’ont les Français de descendre dans la rue. En Angleterre, les jeunes restent chez eux à regarder des soap operas, et les étudiants ne manifestent pas pour changer la société, juste pour réduire les frais d’inscription à l’université… Pendant des mois, la lecture de Guy Debord m’a obsédé. Ça m’a ouvert des mondes insoupçonnés. J’ai pris son pessimisme en pleine gueule : j’ai compris à quel point internet avait dévalué la musique et l’art en général. Mais de ce constat, je me suis enfui : je recherche la joie, l’enfance. Les premiers mots de la chanson Heavy Pop parlent d’enfants qui jouent. C’est un hommage aux jeux de Debord.”

On ne le savait pas en achetant le maxi du groupe l’an passé mais on signait en quelque sorte un contrat avec Wu Lyf, qui répertoriait l’adresse mail de ses mille acheteurs. On devenait sans le savoir actionnaire du groupe. Le modèle économique de Wu Lyf : celui du FC Barcelone et son système de socios (supporters abonnés possédant une part de la propriété du club, et donc décisionnaires), qui garantit son indépendance. Le bandana livré avec le vinyle a valeur de contrat. Grâce à lui, où que le groupe joue, et sous réserve de places disponibles, on entrera aux concerts de Wu Lyf pour la simple somme d’une livre, d’un euro ou d’un dollar…

L’indépendance en étendard

L’industrie du disque a tout fait depuis des mois pour attirer le groupe, à n’importe quel prix. Elle ne peut que constater le divorce entre les générations et sa propre impuissance. Il pourrait même y avoir, dans la pop anglaise, un avant et un après-Wu Lyf. Loin des gesticulations de riches de Radiohead qui, pendant plus de quinze ans, a vécu des largesses de majors avant de les mépriser, Wu Lyf s’est construit seul, a inventé son propre système économique. À 19 ans, cet acharnement à tout contrôler, ne rien déléguer, ne rien abandonner, impressionne. “Je refuse que quiconque me représente. J’ai tout mis dans ce groupe. Je n’ai pas de plan B dans ma vie. Du coup, il était hors de question de se vendre à un label : nous avons créé Lyf Recordings pour tout gérer et financer nous-mêmes, et peut-être un jour des films et des livres.” Jusqu’aux concerts, le groupe a imposé ses règles : il choisit les salles, dédaigne les offres de premières parties prestigieuses, impose ses tarifs.

On n’assiste pas à un concert de Wu Lyf. On y participe physiquement tant cette musique frappe aux viscères, tant ces chorégraphies rituelles unissent le groupe et son public. Le groupe est fascinant à observer, jusque dans son étrange disposition scénique, avec une batterie et un orgue qui se toisent en front de scène. Cet orgue est un ogre. Le ciment du tourment qui, partout ailleurs, tord cette musique. “Au départ, je jouais de la guitare, se souvient Ellery. Un jour, je suis arrivé au local avec un petit clavier qui imitait le son de l’orgue. Et Heavy Pop nous est tombée dessus, avec ce son d’orgue qui s’est imposé de lui-même. L’orgue est d’une puissance absolue, alors que le son semble castré de toute émotion. On ne peut pas en jouer doucement ou violemment, comme on le fait au piano. Cette désincarnation était parfaite pour rééquilibrer mon chant mélodramatique.”

Mission christique

En mars dernier, à travers un énième communiqué signé de son ministre de la Propagande, un certain “Cassius Clay”, Wu Lyf commençait à raconter l’enregistrement de son premier album : “Nous avons loué une église bâtie par une congrégation italienne en plein cœur de Manchester et y avons enregistré dix chansons. Nous avons joué lourdement, chaque nuit, jusqu’à ce que nos voix brisées atteignent la note juste…” L’église en question tiendra un rôle central dans le processus de l’enregistrement. L’album lui doit son écho infini, son intensité, son urgence, puisque le groupe n’avait que trois semaines pour y enregistrer son péplum, son odyssée. Wu Lyf, qui manipule depuis toujours l’imagerie religieuse – son logo représenterait ainsi un Christ crucifié mais parvenant à lever les bras en un V victorieux –, a ainsi joué parmi les statues arrachées, les vitraux éventrés…

“Dans mon éducation, Dieu n’existait pas, et pourtant cette imagerie me fascine. Il y a eu des moments de pure épiphanie dans cette église. C’était comme si le plafond avait disparu : ça a tout rendu énorme… On jouait vite, frénétiquement, car il faisait très froid. Tout est né du chaos. Je me souviens du moment où j’ai chanté Heavy Pop seul dans la nef. En finissant, j’étais hagard, tremblant.” Une nuit, la police fait une descente dans l’église. Des voisins ont entendu des cris inhumains, une agression sauvage sans doute. C’était juste Ellery qui chantait.

Un cri primal, le chant du cygne

Une pathologie a frappé le groupe et le ronge jusqu’à l’os : il s’agit d’un trouble génétique très rare qui impose à sa victime une totale ignorance de la peur. Ainsi, n’ayant jamais peur de l’échec, du risque et de l’inconnu, ce premier album atteint une étrange zone de turbulence où la tension la plus vive se frotte à la contemplation la plus radieuse. Cette musique venue de loin, des entrailles, toute en convulsions, en transe, tribale et très belle, n’est pas raisonnable, pas filtrée, ce qui explique qu’elle bouleverse et remue autant.

Elle ne peut pas juste passer entre les deux oreilles : elle arrache tout. On imagine mal, à presque 20 ans, le groupe capable de gérer longtemps son chaos, ses tensions, la pression qui va maintenant arriver. Et ça ne serait même pas grave si ce premier album était aussi le dernier. Go Tell Fire to the Mountain a été enregistré avec cette flamboyance désespérée de ceux qui ne comptent pas, n’économisent pas. Il a été enregistré comme le cri primal, comme le chant du cygne, avec une intensité unique. Il restera.

La musique du diable

Parlons donc de cette musique grise comme les eaux d’un étang mort, qui connaît souvent le typhon, en vagues de mercure, scintillantes et toxiques. Elle est à la fois pleine d’espoir et peinte aux couleurs du malheur. Cette musique est une brisure, le grondement inquiétant et sauvage, irrationnel, d’une terre qui s’invente. Le bruit du rock qui se réveille, en se débarrassant de toutes les frusques, de tous les gadgets et toutes les références qui l’alourdissent, le condamnent à ramper. Le son électrique de quatre garçons qui fascinent et domptent la tempête, qui jouent avec le feu, isolés et autarciques, même dans une fourmilière comme Manchester.

Dans le corps de pantin de la pop anglaise de 2011, dans cette multitude de boys-bands qui posent comme des cadors et des rebelles, Wu Lyf est un cancer. Comme le premier album des Stone Roses, lui aussi tourbillon de sons, de sève et d’insolence qui avait éliminé nombre de ses contemporains, Go Tell Fire to the Mountain est un immense début. Les deux albums ont en commun leur psychédélisme délabré, leur chant douloureux mais sacrément persuasif, une rythmique féline, une guitare en porcelaine, en tessons, en braises…

“Quitte à raconter des idioties, je préfère qu’elles viennent de nous”

Quatre garçons dans une tempête d’hormones, poings serrés contre le monde mou… Wy Lyf joue plus dense, plus uni, plus tassé que beaucoup d’autres. On sent très bien en les voyant qu’ils ont tout appris ensemble, de leur instrument à la vie. Ils ne sont sans doute pas les musiciens les plus accomplis que vous croiserez cette année, mais sûrement ceux qui sonnent le plus juste, repoussant systématiquement leurs limites, notamment celles d’un chant éraflé. Leurs concerts sont terriblement charnels, on les achève frissonnant, hébété. Eux-mêmes les finissent d’ailleurs souvent perdus, sans le moindre souvenir. “Ça nous emporte dans une sorte de transe… Je déteste les moments d’accalmie entre les chansons, ce retour forcé à la réalité.”

Le groupe, qui nous accueille chaleureusement, est pourtant réputé d’accès difficile. On finit par lui demander pourquoi il nous a acceptés dans son antre de Manchester alors qu’il a refusé plusieurs fois les assauts insistants du puissant hebdomadaire anglais NME et ses promesses de couverture. “La presse anglaise est constamment dans la hype, l’hyperbole, le cynisme, la futilité. J’aurais aimé ne jamais parler mais je refuse qu’on spécule sur notre silence. Je pensais naïvement que la musique suffirait… Mais le pire serait qu’on nous imagine mystérieux ou intéressants. Il y a déjà trop de rumeurs, de fantasmes autour de Wu Lyf. Quitte à raconter des idioties sur le groupe, je préfère qu’elles viennent de nous.”

Go Tell Fire To the Mountain (Lyf Recordings/PIAS). En concert le 19 juillet au MIDI Festival.

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